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Le père peinard

24 juin 2018

Au Populo 2

populo2

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23 juin 2018

Jules Bonnot ce n'était pas n'importe qui - Maurice Barrier

Maurice Barrier - Jules Bonnot ce n'était pas n'importe qui (1975)

23 juin 2018

La "vie normale en entreprise"

coup_de_pied2

 

Y en a qui comprennent pas pourquoi un bon patron est un patron pendu à un réverbère. « Y 'en a des bons ! » qu'ils nous disent. Bien sûr qu'il y en a des bons, mais il existe aussi des poissons volants, et ils sont loin de représenter la majorité de l'espèce. Mais ça ne sert à rien de parler plus avant sans donner d'exemple : 

http://www.atlantico.fr/pepites/sfr-salarie-vire-parce-qu-ne-voulait-pas-photocopier-documents-soeur-patron-3430610.html 

Si je m'abaisse à sortir cette infos d'un site capitaliste et plein de déchets publicitaires, c'est pour que les bons bougres n'aillent pas s'imaginer qu'il s'agit d'une manipulation d'extrême gauche ou d'une facniouze comme insinue souvent les milieux proches du pouvoir.Dans une société libertaire, la salope qui joue du « vous ne savez pas qui je suis... » on lui réponds qu'on en a rien à foutre et on la sort de là avec un coup de pied au derche. Le frère, on l'envoie faire un stage de d'éducation dans une mine de sel VIP en compagnie des anciens richards à qui on aura tout pris pour le redistribuer au peuple, et la «vie normale des entreprises » ne ressemblera plus jamais à ce monceau d'ordure qui ne semble choquer personne dans les milieux patronaux habitués à se vautrer dans leur merde intellectuelle et morale. 

Allez, mort aux cons, et vive la Sociale nom de dieu !

20 juin 2018

Bonne nouvelle

louise m

Le Père Peinard est content les aminches, et en ces temps de catastrophes généralisées c'est assez rare pour que ce soit souligné. A l'époque de Mimile, il y avait Kropotkine, un descendant des princes de Smolensk, grand théoricien de l'anarchisme qui donnait à tous de quoi faire turbiner les petites cellules grises de tous les bons bougres. Et bien nous aussi nous aurons le nôtre, un grand Monsieur, russe, poète, musicien, écrivain, libre penseur, bouffeur de capitalistes et d'accapareurs en tout genre qui a promis de venir mettre sa patte de vieux loup des steepes au sein du journal afin d'expliquer à tout le monde pourquoi et comment les libertaires ne sont pas utopistes, bien au contraire, mais des esprits subtils et éclairés dont le seul objectif est de vous libérer des chaînes de votre esclave.

Et nous aurons également notre Louise Michel qui a immédiatement demandé à "en être" ; traduire participer à la grande aventure de cette libération des corps et des âmes... Mille tonnerres, si c'est pas une bonne nouvelle ça...

 

Pendant ce temps là, les services de presse de Jupiter n'en finissent pas de délirer et de s'extasier sur la fermeté avec laquelle leur dieu a remis à sa place...un lycéen qui chantait l'internationnal et l'avait appelé par son petit nom pendant la célébration des fêtes du 18 juin. Paraît que le 18 juin, on ne doit chanter que la marseillaise et le chant des partisans. Jupiter a du zapper les cours d'histoire au lycée parce que sinon il saurait qu'à la libération, les communistes (même s'ils n'étaient pas libertaires ceux-là) avaient quand même "un peu" participé à la fête. Paraît même qu'il faut avoir un diplome maintenant pour avoir le droit de faire la révolution... Surement une option ajoutées dernièrement par le gouvernement, mais je n'ai pas cherché hein, pas de temps à perdre avec leurs bouillies législatives.

Faut dire que Jupiter a écrit un livre intitulé "Révolution". Ce qui fait qu'il doit se prendre à la fois pour un écrivain et un sans culotte, même si les siennes doivent valoir à elles seules plus que la totalité de mes meubles. Et je vous parle pas de la vaisselle...

Donc, le Juju veut être le Maître et se prend pour un dieu... Et nous les partageux, les communeux, les sans grades, les apatrides, on a comme devise : Ni dieux, ni maîtres ! Forcémment on va pas pouvoir s'entendre...

Et Manu rentre chez toi, pis verse toi une bière

La rue va s'énerver, pis tu gonfles la taulière

Marianne est patiente mais là, elle en peut plus

A cause de tes réformes, elle se ballade cul nu

Les bons bougres ont voté pour faire fuir le fascisme

Pas pour se faire enfler par les économistes

Tu déconnes grave Manu, pis tu nous fais d'la peine

Et si tu continue reviendra le FN

 

 

 

 

 

20 juin 2018

Marius Jacob et les travailleurs de la nuit

Marius Alexandre Jacob et les travailleurs de la nuit (Teaser)

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17 juin 2018

Mise au point

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"Bandit, voleur, pourri"... Et ouais les aminches, c'est les cris que des sournois sont venus beugler jusque sous mes fenêtres la nuit dernière, rapport au fait que j'aurai "usurpé" la feuille à Mimile, le seul et le vrai fondateur du Père Peinard. Alors je m'en vais mettre les points sur les i, les barres sur les t et mon pieds dans le cul de ces couillons : bien sûr que Mimile (le sieur Pouget de son vrai nom) a fondé la feuille, mais il y a une paire de décennies que le gars ne bouffe plus que des racines de pissenlit. Alors bande de chacals, si vous attendez qu'il reprenne le manche pour faire la révolution, les enflures de richards peuvent dormir tranquilles sur leurs deux escalopes. La feuille, plus personne en voulait... Du temps de Mimile déjà, elle rapportait rien à part des emmerdes. Et aujourd'hui que plus personne ne lit la presse cause que tous les titres sont tenus par trois ou quatre milliardaires qui se foutent du populo, aujourd'hui qu'on n'a plus le droit d'insulter les cons et que les magouilleurs du gouvernement préparent une loi pour désigner aux bons bougres les journeaux crédibles et ceux qui racontent des "facniouzes", sortir le Père Peinard gratuitement sur le ouaib' en espérant que vos consciences endormies au chloroforme et aux débilités d'Anne Houna seront réveillées pour le grand soir est un pari à 300 contre 1.

Alors voilà, je ressors la feuille, et même si l'affiche que j'ai collé la dernière fois date un peu, le fond, foutre dieu, est encore d'actualité. Ouais les aminches, Père Peinard envisage sérieusement de se présenter aux futurs concours de bonimentations que les vendus appellent "Présidentielles". Pas pour devenir président bien sûr, je vous expliquerai une autre fois pourquoi ça ne sert à rien. Mais pour que le populo et tous les bons bougres dont vous êtes comprennent bien comment et pourquoi on les truande à longueur de temps. Pourquoi et comment surtout, le système actuel vous condamne à accepter pour l'éternité, les mêmes faces de carêmes, les tartuffes au coeurs de pierre, la racaille philosophique, bref, la lie de l'humanité qui n'a d'autres préoccupations que de piquer votre artiche et de boulotter vos acquis sociaux.

Alors vous me direz, pourquoi donc se présenter si c'est pas pour gagner ? Mais pour foutre le dawa les aminches. Déjà, pour que ma candidature soit valide, il faudrait que je réussisse à convaincre 500 importants de me donner leurs signatures. Signatures que bien entendu je n'aurai pas. Parce que quand un type se met à promettre la gratuité du logement, de l'éducation, de la boustifaille, et des soins médicaux, les politichiens et la grande truanderie de la finance commence à faire dans leurs falzars. Parce que c'est justement sur cet essentiel que ces salopards entendent se goinfrer de votre pognon. Débattre de ce genre de trucs est rigoureusement interdit dans un débat électoral, dès fois que ça donnerait des idées d'émancipation aux bon bougres qui jusqu'à présent ne se posaient pas de question là-dessus vu qu'on leur avait fait rentrer dans le crâne depuis leur naissance que c'était normal de payer pour avoir le droit de vivre. Vous imaginez un député me tendre la feuille en me disant : "Vous avez raison Père Peinard, allez-y, renversez la table, instaurez donc l'égalité entre tous les citoyens et faîtes donc crever ce vieux monde à bout de souffle et la pompe à fric qui remplit mes poches à chaque fin de mois.

Donc, les 500 autographes des défenseurs du désordre établi, je les aurai pas. Mais j'aurais mieux les aminches. J'envisage d'obtenir un million de signature de la part des vrais citoyens de ce pays. Tous ceux qui en ont au dessus du ras du bol de trimer comme des chiens, d'être traiter comme des esclaves ou de servir de variables d'ajustement pour les patrons. Tous ceus qui ont envie de crier MERDE, ou MORT AUX CONS, ou VIVE LA SOCIALE. Tous ceux qui ont envie de voir la bourgeoisie se ruer chez Carrefour pour faire des réserves de pâtes et de conserves, de voir les riches se tirer loin d'ici par peur du goulag, voir de la résurrection de Robespierre, de Marat ou de Babeuf.

Et avec ce million de signature les aminches, on aura la preuve de ce qu'on sait déjà tous : Le populo est capable de changer les choses, à condition qu'il en ai la volonté. On va le construire ce monde nouveau les mecs, tous ensemble, foi de Père Peinard.

Vive la sociale, nom de dieu !

14 juin 2018

Au populo

au populo

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